Quand Laferrière s’enfoisonne

L’exil vaut le voyage, de Dany Laferrière

Les mots de Laferrière ne m’embarquent pas. Sa vision n’est pas la mienne, son bavardage lasse mes oreilles, son viril américanisme noir ennuie ma créolité chamarrée… Mais quand le plasticien en lui se réveille, c’est une autre histoire. Beau livre d’artiste.
PRV